7 règles d'or pour obtenir une traduction de qualité

Introduction

Comment réussir l’externalisation de ses projets traductionnels

Nous avons élaboré nos « 7 règles d’or pour obtenir une traduction de qualité » au fil des expériences. Nous pouvons vous assurer qu'en suivant ces règles, certes relativement simples, vous serez surpris de la nouvelle qualité des traductions que vous recevrez.

Il y a une douzaine d’années de cela, nous étions dans votre situation : dans une position de demandeurs de traductions. À l’époque, nous avions nettement moins d’expérience que beaucoup d’entre vous dans le domaine et externalisions nos projets traductionnels sans avoir la moindre idée de ce que pouvait être la publication assistée par ordinateur (PAO) ou même comment les tarifs étaient établis. Vous pouvez imaginer le résultat…!

Les délais de livraison n’étaient pas respectés, les tarifs étaient plus élevés que le budget estimé, et par-dessus le marché la qualité des traductions qui nous étaient livrées laissait vraiment à désirer. À un tel point que nous avons finis par nous dire que nous pouvions faire tout aussi bien – sinon mieux – par nous-mêmes. En prenant les choses du bon côté, ce sont ces désagréments qui nous ont menés à fonder notre propre agence de traduction.

Une fois passés producteurs de traductions, nous avons découvert de nombreux éléments qui nous déplaisaient lorsque nous étions clients.

Jusque là, nous étions d’avis que la qualité variable des traductions ne dépendait que du traducteur, nous pensions obtenir une bonne traduction si nous avions affaire à un « bon traducteur » et une mauvaise traduction dans le cas contraire. Nous estimions donc que si la traduction demandée ne remplissait pas nos critères qualitatifs, c’était simplement que nous avions travaillé avec un mauvais traducteur. C’est en lançant notre entreprise que nous nous sommes rendus compte qu’il était possible que la qualité des travaux varie d’une fois sur l’autre même en ayant recours au même traducteur : le rendu final dépend aussi du chef de projet.

La différence réside dans la capacité du chef de projet à recevoir une quantité suffisante d’informations de la part du client concernant ses besoins et de correctement les transmettre au traducteur. Pourquoi personne ne nous avait fait part de cette précieuse information plus tôt ? Si seulement nous avions pu connaître ce secret alors que nous étions dans la position de demandeurs de traduction...

Arc Communications s’engage à proposer des services qui règlent les problèmes auxquels nous avons autrefois été confrontés en tant que clients. Cette philosophie reste inchangée depuis la naissance de l’entreprise en 2005.

Il est certain que chaque agence de traduction devrait s’efforcer de guider leurs clients pour améliorer la qualité générale des travaux rendus, mais vous pouvez également obtenir des traductions plus satisfaisantes en suivant ces quelques conseils concernant la sous-traitance de vos projets traductionnels.

Passons à la première de nos sept règles d’or.


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